La sophrologie a bien évolué en France depuis sa création dans
les années 1960. Le courant caycédien (celui du fondateur, le Professeur
A. Caycédo) s’est vu enrichir depuis plusieurs années, d’autres
courants d’inspiration caycédienne.
Le professionnalisme de la discipline est un facteur commun à tous ceux qui ont à cœur de concourir à une meilleure connaissance du métier de sophrologue.
Il existe actuellement en France en cette année 2012, deux regroupements de Directeurs d’Ecoles en Sophrologie qui oeuvrent pour une mise en harmonie des fondamentaux des programmes, quels que soient les courants :
le GIES – Groupe Inter-Ecoles en Sophrologie et la FEPS – Fédération des Ecoles Professionnelles en Sophrologie.
2. Reconnaissance du métier par les pouvoirs publics
La sophrologie est aussi devenue une profession reconnue et enregistrée par les institutions publiques:
Comme toute profession en devenir, d’autres actions sont en cours, notamment celles autour de l’obtention de titres RNCP pour le métier de Sophrologue.
Le RNCP (Répertoire National de la Certification Professionnelle) est un titre délivré à des structures de formation qui en font la demande ou à des regroupements de ces mêmes structures, en déposant un dossier auprès du Ministère du Travail. En cas d’attribution, il certifie que le professionnel a les capacités et les compétences dans son métier, correspondant à ce que l’école a défini comme étant ses propres critères d’exercices professionnels selon le profil des sophrologues formés. Un titre RNCP n’est pas un diplôme d’état, comme par exemple le diplôme d’infirmière ou encore de kinésithérapeute.
La sophrologie est donc en pleine acquisition de notoriété et de savoir-faire, pour le plus grand bénéfice du public !
Sans s’immiscer dans les actions et les projets des différentes écoles existantes, le Syndicat, garant de l’éthique et de la déontologie de la profession, accompagne les actions qui renforcent sa reconnaissance, tout en étant vigilant sur les éventuelles utilisations abusives de termes pouvant prêter à confusion dans l’esprit du grand public.
Le professionnalisme de la discipline est un facteur commun à tous ceux qui ont à cœur de concourir à une meilleure connaissance du métier de sophrologue.
- Mobilisation des Directeurs d’Ecoles pour une véritable professionnalisation de la sophrologie
- Pour construire des bases communes concernant le métier de Sophrologue (les relaxations dynamiques, les techniques associées, les lois et principes de la sophrologie, entre autres …),
- Et pour clarifier les différences de courants, issues de l’expérience et des compréhensions des différents directeurs d’écoles (création des programmes d’accompagnement en fonction des besoins actuels des clients et du public rencontré, adaptation des techniques, et exploitation de l’après-séance technique dans le cabinet du sophrologue).
Il existe actuellement en France en cette année 2012, deux regroupements de Directeurs d’Ecoles en Sophrologie qui oeuvrent pour une mise en harmonie des fondamentaux des programmes, quels que soient les courants :
le GIES – Groupe Inter-Ecoles en Sophrologie et la FEPS – Fédération des Ecoles Professionnelles en Sophrologie.
2. Reconnaissance du métier par les pouvoirs publics
La sophrologie est aussi devenue une profession reconnue et enregistrée par les institutions publiques:
- La profession est prise en compte par l’URSSAF, les caisses de retraites, les caisses d’assurance maladie…
- Depuis novembre 2009, elle est dotée d’un code ROME (Répertoire Opérationnel des Métiers et des Emplois) au niveau du Pôle-Emploi national, ce qui pose clairement l’activité de Sophrologue (fiche K1103, concernant le développement personnel et le bien-être de la personne).
Comme toute profession en devenir, d’autres actions sont en cours, notamment celles autour de l’obtention de titres RNCP pour le métier de Sophrologue.
Le RNCP (Répertoire National de la Certification Professionnelle) est un titre délivré à des structures de formation qui en font la demande ou à des regroupements de ces mêmes structures, en déposant un dossier auprès du Ministère du Travail. En cas d’attribution, il certifie que le professionnel a les capacités et les compétences dans son métier, correspondant à ce que l’école a défini comme étant ses propres critères d’exercices professionnels selon le profil des sophrologues formés. Un titre RNCP n’est pas un diplôme d’état, comme par exemple le diplôme d’infirmière ou encore de kinésithérapeute.
La sophrologie est donc en pleine acquisition de notoriété et de savoir-faire, pour le plus grand bénéfice du public !
Sans s’immiscer dans les actions et les projets des différentes écoles existantes, le Syndicat, garant de l’éthique et de la déontologie de la profession, accompagne les actions qui renforcent sa reconnaissance, tout en étant vigilant sur les éventuelles utilisations abusives de termes pouvant prêter à confusion dans l’esprit du grand public.
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